Il faisait chaud à Bruges en cette fin de mois de juin, les soirées plus fraiche étaient donc appréciées et permettaient au flamands de se balader sans craindre l'insolation. les couples traversaient main dans la main les ponts de la Venise du nord tout en aspirant à leur vie futur, les enfants jouaient à la soule dans la rue dérangeant le passage des badauds, et certains commerçants profitaient de cette douceur pour faire des affaires en fermant plus tard leur pratique.
La vie était donc douce en ces temps à Bruges, lorsque survenu un étrange souffle froid et bruyant.
Bouhhhhhhhhhhhhhhou
C'était l'esprit de Songnis de Suarez qui surveillait les habitants de Bruges, une présence inexpliquée et immatérielle. Simplement un vent et un sentiment d'être observé pour les brugeois.